Représentation de “NELSON MANDELA”, un gagnant est juste un rêveur qui n’a jamais cédé – (Lecture théâtrale) – Au Théâtre de La Closerie – (Etais-la-Sauvin, 89)
Représentation théâtrale / lectures – “NELSON MANDELA”, un gagnant est juste un rêveur qui n’a jamais cédé – Au Théâtre de La Closerie à Etais-la-Sauvin
- SAMEDI 8 OCTOBRE à 20:30
- DIMANCHE 9 OCTOBRE à 16:00
- Réservation : lacloserie1@orange.fr / 03 86 47 28 16
- P.A.F. participation aux frais, tous spectacles, : 15 ou 11 € , 9 € chômeurs, étudiants
Adaptation théâtrale et mise en scène : Caroline Abitbol / Jeu : Didier Ananswé, Anne Le Moigne, Emile Salvador
⭐️⭐️⭐️
“Caroline Abitbol nous remet en mémoire et en perspective, à partir de textes écrits dans les geôles d’Afrique du Sud, des fragments essentiels de la vie d’un homme du peuple qui va devenir chef d’Etat.
Après une jeunesse militante contre l’apartheid qui lui valut 27 ans de prison, Nelson Mandela, devenu Président d’Afrique du Sud en 1994, n’a cherché en aucune manière à se venger. Il a montré que le vivre ensemble était possible. Son combat exemplaire pour l’égalité et la réconciliation lui a valu le Prix Nobel de la Paix.
Je ne suis pas vraiment libre si je prive quelqu’un d’autre de sa liberté. Nelson Mandela
Caroline Abitbol auteure, photographe et cinéaste, opère, pour cette création qu’elle met en scène, un choix de textes puisés dans l’autobiographie de Nelson Mandela, rédigée en grande partie en prison, et dans des lettres, des entretiens et des discours, pour une lecture très théâtralisée, un spectacle qu’elle va confier à deux comédiens : Emile Salvador, 20 ans professeur d’art dramatique au Conservatoire de Paris 15ème, et Didier Ananswé, comédien, danseur, qui a appris le taïchi et les Qi qongs.
« Mandela Mandela Mandela, le soleil de ta peau éclaire les enfants de Soweito et au-delà tous les hommes ».
Les deux comédiens Emile Salvador et Didier Ananswé sont très habités, comme investis d’’une mission: faire connaître au monde entier l’incroyable « aventure » d’un homme au pays de l’apartheid…”