Archives

Catégories

  • Aucune catégorie

Date

29 Nov 2022
Expired!

Heure

20:00

Labels

Cinema,
Solidarité

Projection débat Accueil des migrants – En présence de Jean Dollet et de l’Association Solidarité Migrants du Haut Nivernais – (solidarité, société, ciné-docu, lutte et militantisme, débat) – Les Allumeurs des Toiles dans le cadre duo festival résistance – au cinéma Casino – (Clamecy, 89)

Projection débat “Accueil des migrants” MARDI 29 NOVEMBRE à 20:00 – En présence de Jean Dollet et de l’Association Solidarité Migrants du Haut Nivernais – Les Allumeurs des Toiles dans le cadre duo festival résistance – au cinéma Casino de Clamecy. 

 

🔵En partenariat avec Sceni qua non, Luzy Hospitalité, SHUDA Luzy, les communes de Château-Chinon, Sermages, Onlay et le Musée Bibracte, le festival Migrant’scène de Nevers et l’Association Solidarité Migrants du Haut Nivernais, 

 

Tarifs : 6,60€ Réduit 5,6€

🟡 Projection-débat Accueil des migrants
En partenariat avec Sceni qua non, Luzy Hospitalité, SHUDA Luzy, les communes de Château-Chinon, Sermages, Onlay et le Musée Bibracte, le festival Migrant’scène de Nevers et l’Association Solidarité Migrants du Haut Nivernais – En présence de Jean Dollet et de l’Association Solidarité Migrants du Haut Nivernais
🟠Première partie :  un court métrage : “Marche et courts” de Yves Nivot, Jean Dollet et Leïla Dollet-Dindo / Documentaire 15mn 2022
“Quatre jours de marche dans le Morvan pour se rencontrer et regarder des courts-métrages entre habitants du Morvan, vacanciers et demandeurs d’asile.”
🟣 Deuxième partie :  “Que m’est-il permis d’espérer ?” de Raphaël Girardot et Vincent Gaullier / Documentaire / 1H48 / 2022
“Dans un camp humanitaire ouvert à Paris, des réfugiés sont en transit. Dans ce centre de “premier accueil”, ils se reposent de la rue où ils ont échoué à leur arrivée en France. Quelques jours à peine d’humanité, que nous passons avec eux. Mais déjà, ils doivent affronter la Préfecture et entendre la froide sentence administrative. Nous sommes toujours avec eux.
Pas de commentaire dans Que m’est-il permis d’espérer, seulement des échanges captés par une caméra discrète, qui esquissent des tranches de vie terribles. S’attachant à Salomon l’Éthiopien, Zerbo le Malien ou Johnson le Nigérien, les écoutant raconter leur parcours, leurs rêves et leurs désillusions, et les suivant dans leurs démarches administratives, le film met au jour l’indignité avec laquelle sont traités ces hommes. Mêlant parcours intimes et espoirs collectifs, le film est un geste politique bouleversant.”