“Mystère Malardier !!” par la Cie du Globe – chronique théâtrale en mémoire de Pierre Malardier et André Dupin l’aîné – (Lecture théâtralisée) – organisé par les municipalités de Lormes et Saint-Martin du Puy – Salle culturelle et salle des fêtes – (Lormes, Saint-Martin-du-Puy, 58)
“Mystère Malardier !!” par la Cie du Globe – chronique théâtrale en mémoire de Pierre Malardier et André Dupin l’aîné à la salle culturelle de Lormes VENDREDI 27 JANVIER à 19:30 et dans salle des fêtes de Saint-Martin du Puy DIMANCHE 29 JANVIER à 16:00
- ⭐️Entrée libre
- Contacter la Cie du Globe : 06 71 55 05 68 / c.escure@gmail.com
Pierre Malardier : Né à Brassy en 1818, Pierre Malardier devient instituteur à Dun-les-Places puis homme politique. Élu député en 1849, il participe à la résistance au coup d’État du 2 décembre 1851 et doit s’exiler. De retour en France, il sera condamné à 15 ans de prison lors de la Commune de Paris et libéré en 1878. Une vie pour la République.”
“André Dupin dit “Dupin Aîné” (né à Varzy en 1783-1865), grand juriste et homme politique du 19eme siècle. Dupin fut, devant la Chambre des pairs, sous la Restauration, le défenseur de nombreux accusés politiques, notamment du maréchal Ney, de Savary, du duc de Vicence, de Béranger, etc. Il fut, à la Chambre des députés, le rapporteur de la charte de 1830 ; il est célèbre pour son esprit et ses bons mots.
« J’ai toujours appartenu à la France, et jamais aux partis. »
Personnage ambivalent, il a su faire la juste part entre ses hautes fonctions parisiennes et son travail d’élu de terrain. Dans la Nièvre, il a notamment œuvré pour le désenclavement du Morvan, popularisé les comices agricoles, et milité pour une rationalisation des techniques agricoles, soutenu en cela par son frère cadet, le baron Charles Dupin. Cette ruralité affirmée lui a valu de savoureuses caricatures dans la presse satirique. Il décède à Paris le 10 novembre 1865, et est inhumé à Clamecy. Une statue de bronze, œuvre du sculpteur varzycois Émile Boisseau, est érigée sur la place du marché de Varzy en août 1869. C’est à cette occasion que Victor Hugo écrira dans La Légende des siècles : « Mort, il se tient droit, lui qui vécut à plat ventre ! » –”